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Auteur/autrice : kiara

Faites connaissance avec notre équipe : Brian Boulais

Brian Boulais est entré au service de Gestion de Capitaux Rothenberg au début de 2018 à titre de conseiller en gestion de patrimoine au bureau de Westmount.

Boulais est titulaire d’un baccalauréat en administration de l’Université d’Ottawa. Il détient le permis relatif aux valeurs mobilières à titre de conseiller en gestion de patrimoine et le permis relatif à l’assurance de personnes de l’AMF. Il a également réussi le programme d’analyste financier agréé. M. Boulais est membre de l’Association CFA Montréal.

Avant d’intégrer Gestion de Capitaux Rothenberg, M. Boulais a travaillé pour deux des plus institutions financières du Canada. Il a décidé de devenir conseiller en gestion de patrimoine afin de pouvoir rencontrer les clients individuellement en personne. Il est excellent pour guider les clients au sujet de la sélection, de la sécurité et du rendement des placements. Il aime adapter les portefeuilles en fonction de la tolérance au risque des clients et des fluctuations constantes des marchés.

Les connaissances et l’expérience fructueuse de M. Boulais en matière de répartition de l’actif et de gestion du risque sont un reflet de sa détermination à offrir les conseils les plus judicieux avec honnêteté et intégrité. Il s’engage à fournir un service personnalisé, tout en axant son approche sur la constitution d’un portefeuille équilibré.

A l'intérieur de Rothenberg

La valeur des obligations en tant que placements tactiques

Un portefeuille qui est équilibré peut mieux résister au risque et être plus fructueux sur plusieurs cycles de marché. Les obligations sont particulièrement utiles pour diversifier et équilibrer le portefeuille d’un investisseur. Dans le blogue de ce mois-ci, nous expliquons en quoi les obligations consistent, comment elles sont négociées, pourquoi leur prix fluctue et, surtout, la contribution qu’elles peuvent apporter à votre portefeuille.

 

Qu’est-ce qu’une obligation?

Les gouvernements et les entreprises ont souvent besoin de réunir des fonds pour financer un éventail d’activités, allant de la construction d’infrastructures au lancement de nouveaux produits. L’un de moyens dont ils disposent pour obtenir ces fonds consiste à émettre des obligations. Les obligations sont en fait des reconnaissances de dette dont la valeur nominale, c’est-à-dire le principal, doit être remboursée à la date d’échéance. Les obligations comportent un coupon, qui représente l’intérêt que l’achat d’obligations procure aux investisseurs et qui est calculé annuellement selon un pourcentage du principal.

Les quatre sortes d’obligations sont les obligations de société, les obligations d’État, les obligations municipales et les obligations hypothécaires. Même si elles sont souvent considérées comme des placements sûrs, leurs prix peuvent fluctuer pour plusieurs raisons.

 

Les obligations sur le marché secondaire

De la même manière que les actions sont négociées, une fois que des obligations sont émises sur le marché primaire, elles peuvent faire l’objet d’un échange entre des investisseurs sur le marché secondaire, ce qui est particulièrement le cas des obligations de société. Étant donné le grand nombre d’émetteurs et de dates d’échéance, les obligations du marché secondaire sont vendues de gré à gré plutôt qu’à une bourse.

Cet accès au marché secondaire est précieux, parce qu’il donne de la liquidité aux obligations, caractéristique qui peut être très utile pour renforcer leur réputation de placement sûr.

 

D’où viennent les fluctuations?

Trois principaux facteurs expliquent les fluctuations des obligations : les taux d’intérêt, le taux d’inflation et les perspectives économiques.

Les taux d’intérêt et les prix des obligations évoluent en sens inverse : lorsque les taux d’intérêt diminuent, les prix des obligations augmentent, et vice-versa. En effet, si les taux d’intérêt augmentent et dépassent le coupon d’une obligation, cette obligation perd son attrait comme placement. Puisque les investisseurs potentiels peuvent obtenir un meilleur taux en s’adressant à une banque, la demande pour des obligations fléchira sur le marché secondaire.

Le taux d’inflation a également une relation inverse avec les prix des obligations. Étant donné qu’une hausse du taux d’inflation entraîne une réduction du pouvoir d’achat de chaque dollar, si la progression du taux d’inflation est plus forte que prévu, le rendement d’une obligation aura une valeur moindre en dollars constants. Toutefois, le phénomène vaut également en sens inverse, de sorte que le rendement de l’obligation exprimé en dollars pourrait avoir un pouvoir d’achat plus élevé que prévu.

Les rapports et les perspectives économiques peuvent avoir une incidence sur les obligations, notamment en ce qui concerne le taux de chômage et la croissance du PIB. Ces prévisions peuvent constituer la principale source de fluctuation du marché des obligations, car l’espoir ou la crainte influence les décisions que les investisseurs prennent au sujet de leurs placements futurs. Si les chiffres publiés sont nettement supérieurs ou inférieurs aux prévisions, on peut s’attendre à un mouvement de grande amplitude sur le marché des obligations, comme sur la plupart des marchés.

Les obligations étant considérées comme des placements sûrs, les prix des obligations de premier ordre augmenteront durant les périodes de volatilité ou lorsque les nouvelles économiques sont mauvaises. Les obligations à rendement élevé comportent souvent un risque plus élevé et, par conséquent, ne se comportent pas de la même façon. Les investisseurs respectent la sécurité offerte par les obligations de premier ordre et peuvent donc les préférer à d’autres placements plus risqués. D’un autre côté, lorsque l’économie est en expansion et que les données sur l’emploi sont bonnes, les prix des obligations peuvent en souffrir, parce que les investisseurs cherchent à tirer profit de la plus grande prospérité du marché.

 

Ce que cela signifie pour vous

À Rothenberg, nous adoptons une approche prudente en matière de placement. Conformément à notre philosophie favorable à un portefeuille équilibré, notre but est de constituer un portefeuille fructueux pour les clients en tenant compte de leur degré de tolérance au risque et, nous l’espérons, en assurant une croissance stable. Les obligations de premier ordre représentent des moyens de placement intéressants au sein d’un portefeuille équilibré.

Pour connaître le rôle utile que des obligations peuvent jouer dans votre portefeuille, nous vous invitons à prendre rendez-vous avec l’un de nos conseillers en placement. Appelez-nous au 514 934-0586 (au Québec) ou au 1 800 456-0949 (en Alberta).

Faites connaissance avec notre équipe : Silvana Rizzo

Silvana est la vice-présidente adjointe, Gestion du patrimoine au siège social de Westmount. Sa carrière au sein du secteur des services financiers, qui s’étend sur plus de 30 ans, continue de s’enrichir!

Silvana est entrée au service de Gestion de Capitaux Rothenberg en 2006. Elle est conseillère en placement agréée et elle détient le titre de gestionnaire de placement agréée (CIM) ainsi que le permis relatif à l’assurance de personnes. Silvana est également membre du sous-comité de la conformité de l’Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières (OCRCVM).

« En tant que fille, épouse, mère de deux femmes fortes et heureuses et grand-mère de mes deux précieux petits-fils dont je suis très fière, je comprends le défi que représente la création d’un équilibre entre une carrière réussie et la vie personnelle. Mon mari depuis 40 ans et moi-même aimons voyager et explorer le monde ensemble dans des croisières et passer du temps de qualité avec notre famille ».

« Je ne cesse de travailler à renforcer mes relations avec les clients et ceux-ci veulent invariablement investir davantage dans leur portefeuille et me recommandent à leurs amis et à leurs parents. La recommandation d’un client représente un compliment extraordinaire et implique une responsabilité qu’on ne peut jamais prendre à la légère. Je suis fière de servir mes clients et de les aider à atteindre leurs objectifs financiers. Je crois que mon professionnalisme, mon écoute attentive et mes aptitudes à communiquer ont contribué à tisser un lien de confiance entre mes clients et moi. Je suis reconnaissante de pouvoir gagner ma vie en faisant ce que j’aime ».

Pourquoi la plupart des plans de retraite échouent-ils?

Par : Robert Rothenberg, CFA, CIWM, FCSI

Lorsque des clients potentiels viennent nous voir, ils nous demandent habituellement les taux de rendement que nous utilisons comme hypothèses pour effectuer une projection de leur situation financière à la retraite.

Pour calculer le revenu et la croissance de leurs placements, beaucoup de personnes se réfèrent au rendement moyen à long terme de 10 % du marché boursier ou au rendement d’une combinaison de titres à revenu fixe et d’actions et appliquent un taux moyen de 7 % à la retraite.

Durant la phase d’accumulation, lorsque les gens mettent régulièrement de l’argent de côté en vue de financer leur retraite, il est logique d’employer un taux de rendement moyen, car il importe peu que votre portefeuille soit très rentable au début et moins fructueux vers la fin ou qu’il produise de mauvais résultats au départ et génère de très bons rendements par la suite.

À la retraite, il faut tenir compte de plusieurs autres facteurs pour déterminer si votre revenu sera durable. L’un des principaux facteurs à ce titre est l’ordre chronologique des rendements.

Si l’on enregistre des rendements médiocres au début de la retraite et qu’on effectue en même temps des retraits, il peut être extrêmement difficile de se rattraper. Supposons un taux de retrait de 5 % et taux de rendement moyen de 10 % : lorsque des résultats inférieurs se produisent au mauvais moment, ils peuvent entraîner un épuisement des fonds en moins de 20 ans. Toutefois, avec le même taux de retrait et un taux de rendement moyen de 7 %, un investisseur peut se retrouver avec une somme plus importante que son placement initial s’il a obtenu des rendements solides dès le début.

Le diagramme suivant présente trois exemples différents. Dans le premier exemple, une personne suffisamment chanceuse pour prendre sa retraite en 1989 a commencé avec un montant d’un million de dollars et a retiré chaque année une somme de 50 000 dollars indexée à l’inflation. Au bout de 20 ans, son capital dépassait les trois millions de dollars.

Le deuxième exemple présente le même retraité doté du même capital d’un million de dollars et effectuant les mêmes retraits, mais dont les rendements sont dans l’ordre inverse. Avec un rendement moyen identique, ce retraité aurait épuisé ses économies après 18 ans.

Dans le troisième exemple, le retraité enregistre un rendement de 7 %, ce qui est beaucoup moins que 10 %, mais il dispose de presque 1,3 million de dollars au bout de 20 ans.

Lorsque vous êtes dans la phase où vous commencez à retirer votre épargne, la stratégie de la « tranche des liquidités » est grandement recommandée. En investissant l’équivalent d’un revenu de 18 à 24 mois dans des quasi-espèces et des obligations à court terme afin de financer vos retraits au début de la retraite, vous serez en mesure de vous protéger contre tout repli abrupt du marché en début de période.

Grâce à cette tranche de liquidités, vous n’aurez pas besoin de vendre vos actions à bas prix pour financer votre retraite et vous leur donnerez le temps de récupérer leurs pertes.

À la retraite, pensez à investir la majorité de votre portefeuille d’actions dans des titres moins volatils qui procurent un dividende raisonnable ou un dividende croissant. Lors de l’effondrement boursier de 2008, les actions dont la volatilité était inférieure à celle du marché général se sont nettement mieux comportées globalement.

On peut dire la même chose de l’inflation, qui a constitué un facteur négligeable pendant la majeure partie de la décennie. Alors que l’inflation historique moyenne est légèrement supérieure à 3 % en Amérique du Nord, le taux annuel moyen s’est maintenu dans la fourchette de 1 % à 2 %. L’indexation de vos retraits à un taux d’inflation élevé au départ aura le même résultat que l’obtention de faibles rendements au début de votre retraite.

Efforcez-vous de garder la croissance de vos retraits sous le taux de l’inflation, car cela vous aidera à préserver votre capital (dans la majorité des illustrations, les retraits servant de revenu sont entièrement indexés à l’inflation).

L’impôt et les frais joueront également un rôle dans le succès de votre retraite. Les particuliers qui disposent de fonds non enregistrés doivent absolument verser les cotisations maximales dans un compte d’épargne libre d’impôt. Ils peuvent ainsi réduire substantiellement l’impôt à payer sur le revenu en intérêts et en dividendes et sur les gains en capital.

Pensez à retirer une partie de vos fonds REER avant d’avoir 71 ans, si vous vous trouvez dans une tranche d’imposition relativement basse, afin d’éviter de payer plus d’impôt par la suite.

Beaucoup de personnes qui n’ont pas de régime de retraite privé devraient envisager de recevoir un petit revenu d’un FERR ou d’une rente à l’âge de 65 ans afin de pouvoir demander le crédit pour revenu de pension de 2 000 $.

Les frais peuvent également gruger les rendements et réduire le revenu de retraite. Assurez-vous que les frais que vous payez pour les conseils que vous recevez sont globalement raisonnables.

Révisez régulièrement votre plan de retraite en tenant compte des variables mentionnées ci-dessus et vous pourrez réussir là où beaucoup d’autres ont échoué.

 

Maladies graves

Il existe un lien étonnamment étroit entre la santé et la retraite anticipée : environ 70 % des Canadiens à la retraite n’ont pas arrêté de travailler le jour où ils l’avaient prévu et, parmi eux, 41 % ont mentionné leur état de santé comme la raison principale pour laquelle ils ont dû prendre leur retraite avant le temps.

La possibilité de tomber gravement malade est réelle. Bien que le rétablissement soit la priorité numéro un, il est de notre devoir de comprendre les effets potentiels d’une telle maladie sur l’actif et le plan de retraite des clients afin de préserver leur prospérité financière. L’un des moyens éprouvés pour protéger les intérêts des clients à long terme est la prise en compte de l’assurance contre les maladies graves dans la planification stratégique.

Le fait encourageant est que, si une personne tombe malade, mais qu’elle est couverte par une assurance contre les maladies graves, les répercussions de la maladie sur son revenu de retraite pourront être limitées.

Incidence de la maladie sur le revenu de retraite

Lorsqu’on doit lutter contre la maladie, la gestion des finances peut représenter une grande source de stress. La situation peut devenir très préoccupante si l’on n’est pas certain que le revenu sera suffisant pour effectuer des paiements et couvrir les dépenses courantes, tout en gérant les coûts liés au rétablissement.

Une solution consiste à retirer les fonds déjà mis de côté pour la retraite. Toutefois, l’utilisation de ces fonds comporte des désavantages. Les sommes retirées d’un REER sont assujetties à l’impôt.

Que peut-on faire?

Une autre solution est la souscription d’une police d’assurance contre les maladies graves. L’assurance contre les maladies graves aide le titulaire de police à protéger son actif lorsque la maladie frappe, en lui versant une somme forfaitaire en cas de maladie grave. Selon la police contractée, le client ne sera peut-être même pas obligé de puiser dans son portefeuille de placement, qui restera intact pendant son rétablissement.

L’assurance contre les maladies graves peut servir à compenser la diminution du revenu ou à remplacer le revenu perdu du malade ou de son conjoint, s’ils doivent prendre congé pendant la période de rétablissement, ou permettre au titulaire de police d’obtenir une aide supplémentaire.

L’assurance contre les maladies graves est-elle nécessaire? Combien coûte-t-elle et comment fait-on une réclamation?

Pour déterminer si votre couverture actuelle est insuffisante, il est important de tenir compte des prestations que vos autres polices d’assurance vous procurent. Ensuite, vous devez examiner votre situation personnelle et les besoins financiers qui résulteraient d’une maladie grave. La majorité des polices d’assurance vie, contrairement à l’assurance contre les maladies graves, ne couvrent pas les dépenses de la vie quotidienne comme celles entraînées par les déplacements entre la résidence et le lieu des traitements, les soins à domicile et la garde d’enfants.

En règle générale, plus vous êtes jeune et en santé, plus la prime est faible. Celle-ci dépend également de vos antécédents médicaux et familiaux, du montant de la protection et du nombre de maladies couvertes par la police. Comme nous sommes les courtiers de 25 compagnies d’assurance différentes, nous pouvons magasiner pour vous et vous obtenir le meilleur taux.

Le titulaire de la police peut faire une réclamation si un médecin autorisé du Canada qui est spécialisé dans la maladie traitée lui diagnostique une maladie couverte par la police. La prestation consiste généralement en une somme forfaitaire versée dans les 30 jours suivants. Aucune restriction ne s’applique à l’utilisation de cet argent et, une fois que la réclamation est réglée, la police prend fin. Si aucune réclamation n’est faite et que le titulaire décède pour une raison qui n’est pas couverte par la police, les primes payées peuvent être remboursées à un bénéficiaire désigné. De plus, certaines compagnies d’assurance remboursent également une partie des primes si la police vient à échéance sans qu’une réclamation ait eu lieu.

Bien que la protection varie d’une police à une autre, les problèmes de santé couverts par l’assurance contre les maladies graves sont le cancer, les AVC, la cécité, l’insuffisance rénale, la greffe d’organes, la sclérose en plaques, la maladie d’Alzheimer, l’infarctus du myocarde, les brûlures graves, la maladie de Parkinson, la paralysie, l’aphasie, la surdité, etc.

Qu’en est-il de l’assurance invalidité et de l’assurance de soins de longue durée?

Les polices d’assurance de soins de longue durée pourvoient aux soins personnels comme une aide dans l’accomplissement des activités quotidiennes. Elles remboursent généralement, jusqu’à concurrence d’un montant maximal, les dépenses engagées pour obtenir des soins comme ceux fournis dans un centre d’hébergement ou des soins à domicile, et elles versent une prestation préétablie à intervalles réguliers.

Les polices d’assurance invalidité versent des prestations de remplacement du revenu mensuelles au titulaire si celui-ci devient invalide et ne peut plus accomplir les tâches normalement exigées par son travail. La prestation est habituellement limitée à un pourcentage du salaire antérieur et cesse si le titulaire reçoit un nouveau revenu ou ne répond plus à la définition d’une personne invalide établie dans le contrat. À la différence des polices d’assurance contre les maladies graves, les polices d’assurance invalidité peuvent comporter une période d’attente calculée à partir du début de l’invalidité et les autres sources de revenus ainsi que le rétablissement du titulaire peuvent influer sur la prestation.

Et maintenant?

L’assurance contre les maladies graves peut constituer un merveilleux filet de sécurité, en particulier grâce à sa plus grande souplesse par rapport à d’autres formes d’assurance. Elle est conçue pour réduire l’incidence des maladies graves sur la situation financière globale du titulaire de police. Si vous pensez que l’assurance contre les maladies graves est importante pour vous et si vous souhaitez mieux connaître les options qui vous sont offertes, appelez-nous au 403 228 2378 pour prendre rendez-vous.

Assurance

Faites connaissance avec notre équipe : Chris Mack

Directeur de notre succursale de Pointe-Claire, Chris Mack est un gestionnaire de placements agréé (CIM). Il a fait ses débuts au sein du Groupe Rothenberg à un jeune âge et a progressé de concert avec l’entreprise. Il a relevé chaque défi, a réussi plusieurs cours avec distinction et a accepté avec enthousiasme de plus grandes responsabilités.

Chris Mack aime la vie de famille. Il a rencontré sa femme lorsque tous les deux travaillaient pour Gestion de Capitaux Rothenberg à Westmount. Leur fille de 20 ans étudie actuellement l’histoire à l’Université de Montréal et leur fils de 10 ans est une vedette du soccer en herbe qui joue dans des compétitions.

« L’an prochain à la même date, j’aurai passé la moitié de ma vie au sein de la famille Rothenberg. J’ai été le témoin de nombreux changements et j’ai vécu beaucoup de bonnes années (et quelques-unes de plus difficiles), tandis que je faisais ma place dans l’entreprise. Les relations que j’ai établies avec mes clients représentent l’aspect le plus gratifiant de mon travail. Au fur et à mesure que les années passaient, nous avons fait des progrès ensemble. Le commentaire que j’ai entendu le plus souvent est celui-ci : ‘Chris, personne n’a jamais pris le temps de m’expliquer quoi que ce soit, mais maintenant, je commence finalement à comprendre de mieux en mieux’. Cela m’a toujours fait grand plaisir. »

 

L’utilité d’un conseiller en gestion de patrimoine lorsque les marchés sont volatils

Le conseiller en gestion de patrimoine révèle son utilité lorsque, après s’être informé de votre situation personnelle et de vos objectifs, il utilise ses connaissances approfondies et les moyens de recherche à sa disposition pour évaluer vos placements et vous guider. Dans nombre de cas, il vous conseillera de ne rien faire. Dans d’autres cas, il sera en mesure de vous suggérer des placements qui seront avantageux sur un marché à la baisse. En toute circonstance, il répondra à vos questions et vous fournira un aperçu de la situation actuelle du marché.

Lorsque vous avez affaire à un marché volatil, la meilleure solution consiste à discuter de vos préoccupations avec un conseiller en gestion de patrimoine. Assurez-vous de l’informer de ce que vous ressentez et du degré de risque que vous pouvez tolérer. Votre conseiller devrait être entièrement au fait de votre situation. Il pourra évaluer correctement les risques et, par conséquent, vous placer sur la trajectoire la plus sûre possible. Les données historiques, une recherche judicieuse et les conseils avisés de votre conseiller travaillent à votre avantage!

Comment trouver un bon conseiller en gestion de patrimoine

Un bon conseiller doit vous fournir un plan global, c’est-à-dire un plan qui tient compte de tous les aspects de votre situation financière. Pour obtenir cette vue d’ensemble, le conseiller recourra à plusieurs outils : la planification des placements, la planification fiscale, la planification de l’assurance et la planification successorale. Par une planification appropriée, la transparence et des communications régulières, un conseiller en gestion de patrimoine peut atténuer considérablement les répercussions des marchés volatils sur le portefeuille.

Pour vous donner de bons et judicieux conseils, le conseiller en gestion de patrimoine analysera vos renseignements personnels et vos données financières et établira des projections qui illustreront de quelle manière et à quel moment vos objectifs financiers seront atteints. À Gestion de Capitaux Rothenberg, les projections de nos conseillers en gestion de patrimoine se fondent sur des ensembles de données historiques concernant l’inflation et le rendement des placements, qui sont combinés dans diverses formules avec les montants que vous gagnez, que vous dépensez et que vous épargnez à chaque étape de votre vie et de celle de votre famille.

Un bon conseiller en gestion de patrimoine s’intéresse à la perspective d’ensemble au lieu de se limiter, comme un simple représentant, à vendre un produit de placement donné. Les conseillers en gestion de patrimoine de Gestion de Capitaux Rothenberg sont rémunérés par un salaire de base et une prime. Ils peuvent donc prendre le temps de discuter avec leurs clients afin de trouver la meilleure solution pour eux plutôt que d’avoir à se soucier de gagner une commission. Ils peuvent également passer plus de temps à chercher différentes options, à communiquer avec leurs clients et à s’informer des changements survenus dans leur situation personnelle.

La connaissance est la clé de la sécurité

Grâce à une communication appropriée et à des prises de contact régulières, votre conseiller en gestion de patrimoine devrait être capable de vous rassurer lorsque les marchés évoluent en dents de scie.

Nous avons demandé à quelques-uns de nos conseillers ce qu’ils faisaient lorsque les marchés fluctuaient fortement et leur réponse a été catégorique : penser à long terme. Les conseillers prennent le temps de vous présenter les données historiques qui se rapportent au marché général et aux placements que vous détenez. Même lorsque les marchés vont bien, il est important que les conseillers effectuent régulièrement un examen du portefeuille avec leurs clients et se servent de leurs connaissances pour expliquer clairement la nature et la raison d’être des placements qu’ils possèdent. Cette vision claire des choses est importante pour réduire l’anxiété. La volatilité des marchés est un phénomène normal, mais, à long terme, il est possible, avec le concours d’un bon conseiller en gestion de patrimoine, de réaliser des gains en exploitant les avantages de la volatilité.

Si vous souhaitez parler à un de nos conseillers en gestion de patrimoine, envoyez-nous un courriel à inforequest@rothenberg.ca ou appelez-nous au 514 934-0586.

Comment établir un Plan d’Action Financier Efficace

Pourquoi se soucier de rédiger un plan d’action financier?

La planification financière apparaît comme une tâche rebutante, mais elle consiste tout simplement à utiliser les outils à votre disposition pour préparer vos finances en vue du futur. Un plan financier peut être aussi rigoureux ou aussi informel que vous le souhaitez. L’essentiel est qu’il réponde à vos besoins, tout en vous préparant pour le reste de votre vie.

Pourquoi se donner la peine de consulter un conseiller financier?

Le recours à un conseiller financier soulève une multitude de questions. Et c’est très logique! Vous méritez que votre argent soit confié à la personne la plus fiable possible. Il est important pour nous – comme cela devrait l’être pour tous les conseillers financiers – qu’un plan d’ensemble financier ne soit pas seulement un produit, mais qu’il prenne la forme d’un processus à long terme conçu méticuleusement en fonction de votre situation et de vos objectifs.

Comme nous en avons discuté dans des blogues antérieurs, l’établissement d’un budget est un facteur clé. Il est encore plus important d’avoir une idée générale de ce que vous attendez de la retraite : l’endroit où vous voulez vivre, le revenu mensuel que vous visez, etc. De cette façon, vous saurez ce que votre budgétisation et vos économies vous rapporteront. Nous croyons que la collaboration avec un conseiller financier est la meilleure solution pour choisir les bons produits financiers et en maximiser les avantages. Un expert prend le temps d’établir une relation fructueuse avec son client et de découvrir sa situation particulière ainsi que ses priorités. Le conseiller peut alors aider son client à déjouer différents risques, tout en gardant le cap sur ses objectifs.

Quelle est notre philosophie de placement?

Le trait commun qui caractérise les plans que nous créons pour nos clients est un élément essentiel : l’équilibre. Conformément à notre philosophie fondée sur un portefeuille équilibré, nous offrons des plans qui conjuguent les placements garantis, les produits générateurs de revenus et les produits de croissance. Dans tout portefeuille, le pourcentage que représente chaque type de produit dépend des besoins du client. Dans un plan d’action financier de ce genre, nous répartissons l’actif de votre portefeuille de placement de manière à vous procurer une certaine sécurité ainsi qu’un revenu et un potentiel de croissance.

Qu’il s’agisse des dépenses quotidiennes, de l’épargne ou des produits de placement, la rédaction d’un bon plan d’action financier exige de l’honnêteté et de la clarté! En connaissant bien vos priorités et vos objectifs, votre conseiller financier sera mieux à même de vous aider. De concert avec leur conseiller financier, nos clients établissent un budget, diversifient leurs avoirs et sélectionnent les placements voulus pour réaliser leur plan.

Patty 20e Anniversaire

Félicitations, Patty!

Fière maman de trois enfants, Patty a intégré notre service de comptabilité il y a 20 ans. Par ses solides aptitudes organisationnelles et sa grande minutie, elle est devenue un élément essentiel de notre service de comptabilité.

Patty a également assumé d’autres responsabilités, y compris plusieurs projets spéciaux, dont une recherche sur l’expansion au moyen d’acquisitions. Patty représente un atout inestimable pour l’équipe Rothenberg.

Nos félicitations pour ces 20 remarquables années!

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