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Auteur/autrice : kiara

Faut-il cotiser à mon REER ou rembourser mon prêt hypothécaire?

Dans cet article, nous vous présentons quelques réflexions ayant trait à un dilemme bien connu, à savoir privilégier l’épargne retraite ou le remboursement d’un prêt hypothécaire.

La cotisation à un REER ou le remboursement d’un prêt hypothécaire sont des options qui, à première vue, paraissent avoir la même importance. Après tout, elles ont trait à des aspects primordiaux de votre parcours financier, c’est-à-dire votre retraite et votre succession. La bonne décision dépendra de votre situation personnelle. Examinons par conséquent chacune des options.

Cotisation à un REER

Le fait de cotiser à un REER peut avoir des avantages à court comme à long terme. En effet, les cotisations à un REER sont effectuées avant impôt, dégageant ainsi un avantage fiscal l’année où la cotisation est versée. En 2022, la cotisation maximale à un REER équivaut à 18 % du revenu gagné jusqu’à concurrence de 29 210 $. Toute portion inutilisée de ce plafond, également connue sous le nom de droits de cotisation inutilisés, peut être reportée à une année ultérieure.

En outre, l’argent investi dans un REER peut croître en franchise d’impôt jusqu’à son retrait. Parmi les options de placement du régime figurent les fonds communs de placement, les certificats de placement garanti (CPG), les FNB ainsi que des actions et obligations individuelles.

Outre le fait de profiter des cotisations avant impôt versées dans un REER, le principal atout d’un investissement dans ce type de régime est la croissance composée en franchise d’impôt des placements du compte.

Remboursement d’un prêt hypothécaire

Le remboursement d’un prêt hypothécaire peut faire disparaître les dépenses mensuelles les plus importantes du budget d’un propriétaire. La plupart des personnes s’inquiètent de la provenance de l’argent qu’ils devront consacrer au remboursement du prêt hypothécaire.

L’une des stratégies dont on dispose est de consacrer tous les mois un montant supplémentaire au remboursement du prêt hypothécaire. Cette somme augmentera le remboursement mensuel du capital. Selon le solde du prêt hypothécaire et du taux d’intérêt, vous pourriez être en mesure de réduire de plusieurs années la durée de remboursement du prêt hypothécaire : tel ne serait pas le cas si vous vous contentiez d’effectuer les versements mensuels demandés.

Il va sans dire que si le taux d’intérêt du prêt hypothécaire est élevé, vous auriez tout avantage à rembourser ce dernier aussi rapidement que possible.

Points dont il faut tenir compte

Âge. Il faut tenir compte de votre âge. Si la date de votre retraite est proche, le remboursement rapide de votre prêt hypothécaire peut s’avérer être une décision judicieuse. En effet, la disparition de ce versement mensuel avant votre retraite bonifierait le budget de cette dernière.

Si l’intéressé est plus jeune, il vaut mieux, en général, maximiser les cotisations au REER étant donné que la croissance en franchise d’impôt pourrait permettre d’accumuler un capital important en vue de la retraite. Les rendements dépendront de la répartition des fonds entre différents placements : sachez que les effets du rendement composé d’un placement en franchise d’impôt peuvent être phénoménaux au fil du temps.

Taux. Lorsqu’on pèse le pour et le contre d’une cotisation à un REER par rapport au remboursement d’un prêt hypothécaire, il faut absolument comparer le taux d’intérêt du prêt hypothécaire au taux de rendement prévu de l’épargne investie dans le REER. Si votre prêt hypothécaire est bloqué à 2,5 % et que vous pouvez obtenir un taux de rendement plus élevé de vos placements, le REER pourrait être l’outil à privilégier. Il est évidemment plus avantageux de cotiser le maximum possible dès qu’on le peut; la puissance de l’effet de capitalisation pourrait s’avérer un atout majeur pour les travailleurs après plusieurs années de carrière.

Impôts. En outre, le versement de cotisations dans un REER offre chaque année un excellent avantage fiscal qui pourrait d’ailleurs être le plus important offert chaque année aux intéressés.

Liquidité. Il faut également tenir compte du fait que l’argent immobilisé dans une habitation intégralement payée est en grande partie non liquide. Évidemment, vous pouvez toujours contracter un prêt sur valeur domiciliaire, le cas échéant, mais cela vous replace dans une situation semblable à celle qui était la vôtre lorsque vous deviez effectuer des paiements hypothécaires.

Pourquoi ne pas utiliser les deux méthodes?

La meilleure stratégie consiste peut-être à utiliser les deux méthodes.

Verser toutes les cotisations possibles dans votre REER pour profiter de la croissance d’un placement à imposition différée sur un plus long terme. Si les placements du REER sont investis convenablement, ils pourront vous aider à accumuler un capital appréciable en vue de votre retraite. Dans le cadre de ce processus il faudra étudier votre budget mensuel pour calculer si vous disposez d’un montant suffisant au remboursement mensuel du solde de votre prêt hypothécaire.

Évidemment, tout le monde n’est pas dans la même situation. Il serait donc judicieux d’examiner vos rentrées mensuelles pour fixer le montant de la cotisation à votre REER et celui qui permettra de rembourser plus rapidement votre prêt hypothécaire sans stress inutile.

Une autre option consiste à calculer le montant des économies d’impôt que vous réalisez grâce aux cotisations avant impôt que vous versez dans votre REER et d’imputer une partie ou la totalité de cet argent au remboursement anticipé de votre prêt hypothécaire.

Dans ce cas, il faut comparer le taux d’intérêt du prêt hypothécaire au rendement attendu des placements de votre REER. Généralement, le rendement du REER sera plus élevé au fil du temps, mais ce n’est pas toujours le cas.

Conclusion

La décision de cibler l’épargne retraite ou le remboursement d’un prêt hypothécaire dépend de la situation particulière de chacun. Parlez-en à l’un de vos conseillers afin de mettre au point la stratégie qui conviendra le mieux à votre situation et à vos objectifs.

Contactez-nous au 514-934-0586 (Montréal) ou au 403-228-2378 (Calgary) pour examiner les différentes manières d’utiliser vos remboursements d’impôt et pour analyser vos retenues d’impôt afin de déterminer si vous bénéficiez de la stratégie optimale.

 

Six manières d’utiliser votre remboursement d’impôt

Faites-vous partie des millions de Canadiens qui devraient bénéficier d’un remboursement d’impôt cette année? Si tel est le cas, voici quelques idées qui vous aideront à bien utiliser ces fonds.

En préparant votre déclaration de revenu, vous constatez avec plaisir que vous avez droit à un remboursement, ce qui vaut mieux que de devoir de l’argent au gouvernement. Si vous bénéficiez d’un remboursement d’impôt, voici six idées dont vous pourriez tenir compte pour utiliser cet argent.

1. Le dépenser

En général, l’idée de se servir de ce remboursement pour se faire plaisir figure, au mieux, en bas de la liste. Toutefois, si ce remboursement est relativement modique, faites-vous plaisir en allant par exemple au restaurant pour faire un bon repas. Même si vous bénéficiez d’un remboursement plus important, il n’est pas interdit d’en utiliser un pourcentage pour vous faire plaisir.

2. Cotiser à votre REER

Vous pourriez envisager de cotiser à votre REER pour garnir votre fonds de retraite. Si vous détenez un REER, vous pourriez vous prévaloir du report des cotisations des années précédentes au cours desquelles vous n’aviez pas atteint le plafond de cotisations. En versant la totalité ou une partie de ce remboursement dans votre REER, vous pourriez ainsi utiliser une partie ou la totalité des droits inutilisés de cotisation et ainsi progresser davantage vers la réalisation de vos objectifs d’épargne retraite.

Vous pourriez également bénéficier éventuellement d’un allègement fiscal pour l’année 2022‑2023 puisque ces cotisations sont effectuées avant impôt et que les fonds ne sont imposés qu’au moment de leur retrait du régime.

Si votre situation l’autorise, vous pourriez également envisager de cotiser à un REER de conjoint. Il s’agit d’une stratégie de fractionnement du revenu des couples qui peut contribuer à réduire le fardeau fiscal.

3. Cotiser à un CELI

Il existe également une autre option que vous pourriez envisager, à savoir placer l’argent de votre remboursement d’impôt dans un CELI en prévision d’un achat important.

Les cotisations versées dans un CELI ne permettent pas de bénéficier de déductions d’impôt immédiates. Toutefois, l’argent du remboursement peut être investi dans des placements générant un revenu dont la croissance se fera en franchise d’impôt dans le compte. Cette décision est avantageuse parce qu’elle vous permet d’économiser pour réaliser un objectif majeur, par exemple acheter une première maison ou profiter de longues vacances, sachant que les retraits de fonds ne sont pas imposables.

Vous pourriez ainsi bénéficier d’un atout dans le cadre de la planification fiscale de votre retraite. Vous profitez également d’un moyen de diversifier l’imposition des sources de vos revenus de retraite si vous détenez également un REER et que vous avez déjà utilisé tous vos droits de cotisation à ce régime.

4. Investir par l’intermédiaire d’un compte imposable

Les avantages fiscaux offerts par un REER ou un CELI sont extrêmement tentants. Toutefois, les placements dans un compte de courtage imposable ne sont pas à dédaigner. En effet, les gains en capital bénéficient d’un taux d’imposition favorable; c’est pourquoi il peut être judicieux de détenir des placements qui pourraient générer des gains de capital importants dans ces comptes, tout en détenant des placements générant un revenu dans un REER ou un CELI.

Les dividendes versés par des actions détenues dans un compte de courtage imposable sont imposés à un taux préférentiel par rapport à ceux provenant d’autres sources de revenu. En effet, la société a déjà payé des impôts sur les dividendes et le gouvernement n’impose pas une deuxième fois ce revenu.

Il faut également se souvenir que les fonds détenus dans un compte imposable, par exemple un REER, peuvent être plus facilement accessibles au fil du temps comparativement aux fonds détenus dans un compte exonéré d’impôt car ils ne sont pas assujettis aux mêmes règles.

5. Rembourser vos dettes

Si vous avez des dettes en suspens, par exemple des versements d’intérêts élevés sur des cartes de crédit, un prêt personnel ou un prêt hypothécaire, vous pourriez envisager d’affecter une partie ou la totalité du remboursement d’impôt à la réduction de cette dette. Vous pourriez ainsi éliminer ou du moins réduire le montant total des versements consacrés à cette dette et économiser ainsi au fil du temps le coût de l’intérêt composé.

Dans le cas d’un prêt hypothécaire, si le remboursement est important, vous pourriez également envisager de faire un gros versement pour réduire ou éliminer complètement cette dette.

À l’heure actuelle, le gouvernement du Canada a suspendu jusqu’au 31 mars 2023 l’accumulation des intérêts sur les prêts aux étudiants. La période actuelle est donc particulièrement propice au remboursement d’une partie ou de la totalité de cette dette en utilisant le remboursement d’impôt. Outre la diminution de la dette, le fait d’effectuer un versement en ce moment pourrait contribuer à éliminer des frais d’intérêt supplémentaires au moment où la situation reviendra à la normale et que la suspension sera levée.

6. Cotiser à un fonds de secours

L’argent du remboursement peut servir à mettre en route ou à augmenter un fonds de secours existant. Cet argent est habituellement placé dans un compte liquide portant intérêt, disponible en cas d’urgence, par exemple une perte d’emploi ou des réparations importantes et inattendues exigées par votre voiture ou votre habitation.

Selon une règle de base, il faut disposer dans ce fonds d’un montant équivalant aux dépenses obligatoires et nécessaires pour une durée de six mois. Il faut y inclure l’argent destiné à des paiements tels que le loyer ou les remboursements hypothécaires, la nourriture, le prêt-auto et les autres dépenses essentielles au maintien de votre style de vie habituel. Il pourrait également prévoir des dépenses supplémentaires comme les divertissements, les repas à l’extérieur ou d’autres dépenses discrétionnaires sachant qu’il faut établir la priorité de vos besoins et de ceux des personnes à charge.

Analyser vos retenues à la source

Cette démarche ne vise pas les fonds provenant d’un remboursement d’impôt, mais elle donne l’occasion d’analyser les retenues d’impôt de l’année en cours pour savoir si elles tiennent parfaitement compte de votre situation. Est-ce que votre niveau de revenu a changé? Si tel est le cas, la retenue d’impôt est-elle suffisante?

Par retenue d’impôt on entend le montant d’impôt sur le revenu déduit par votre employeur de votre chèque de paie qui, habituellement, ne tient pas compte des diverses déductions classiques, par exemple les cotisations à un REER qui réduisent l’impôt exigible. Si vous recevez un remboursement important chaque année, vous pourriez envisager de réduire vos retenues d’impôt de façon à augmenter le montant figurant sur votre chèque de paie.

Que retenir… Établir une liste des priorités qui vous tiennent à cœur

Toucher un remboursement important peut s’apparenter à de l’épargne forcée bien que vous ne touchiez aucun intérêt sur cet argent. Vous pourriez mieux l’utiliser pendant l’année en l’investissant quoique tout cela dépende de vos besoins et de votre situation actuelle.

Téléphonez-nous au 514-934-0586 (Montréal) ou au 403-228-2378 (Calgary) pour établir le meilleur moyen d’utiliser votre remboursement d’impôt et examiner vos retenues d’impôt pour être certain qu’ils conviennent parfaitement à votre situation.

Cet article a fait l’objet d’une vérification soigneuse, mais nous ne pouvons garantir que les renseignements fournis sont exacts ou à jour. Veuillez consulter votre conseiller en gestion de patrimoine chez Rothenberg pour obtenir des conseils fondés sur des paramètres qui vous sont propres. Rothenberg Gestion de capitaux est membre de l’OCRCVM et du Fonds canadien de protection des épargnants.

Prêt hypothécaire inversé : Le pour, le contre et la conclusion

Les baby-boomers canadiens arrivés à l’âge de la retraite ont profité d’un marché immobilier dynamique au cours des deux dernières décennies; ils pourraient avoir intérêt à se servir de la valeur nette de leur habitation pour générer un revenu de retraite.

Les options de financement de la retraite sont diverses. Typiquement, les principales sources de revenu de retraite sont les pensions et l’épargne financière représentées en général par des régimes enregistrés d’épargne-retraite (REER), des comptes d’épargne libres d’impôt (CELI) et des comptes d’épargne non enregistrés.

Les retraités peuvent également envisager l’utilisation de la valeur nette de leur habitation. Le prêt hypothécaire inversé est l’une des méthodes permettant d’avoir accès à cette valeur nette. Il s’agit en effet d’un prêt permettant de profiter de la valeur nette de l’habitation sans devoir se départir de cette dernière. On peut en effet emprunter à concurrence de 55 % de la valeur nette de son habitation compte tenu de divers facteurs, notamment de son âge et de celui de son conjoint (les deux intéressés doivent avoir au moins 55 ans) ainsi que de la valeur du moment de l’habitation. Toutefois, le montant des prêts hypothécaires inversés est généralement de loin inférieur à ce pourcentage.

Un prêt hypothécaire inversé peut être structuré de façon à prévoir des versements périodiques au propriétaire ou peut faire l’objet d’un versement forfaitaire. Dans les deux cas, il n’y a aucun remboursement exigé à moins que le propriétaire ne déménage, décède ou vende l’habitation.

Les prêts hypothécaires inversés ont divers avantage et inconvénients. 

Divers avantages :

  1. La valeur de votre patrimoine peut être liée à celle de votre habitation, notamment si celle-ci a augmenté au fil des ans. Un prêt hypothécaire inversé vous permet de profiter de la valeur nette de votre habitation sans être obligé de la vendre. En outre, étant donné que vous restez propriétaire de celle-ci, vous ne serez jamais forcé de déménager ou de la vendre. Même si la valeur de l’habitation devient inférieure au solde du prêt hypothécaire inversé, vous pouvez continuer à occuper les lieux pour le restant de votre vie.
  2. Vous avez accès à la valeur nette de votre habitation sans avoir à effectuer les remboursements mensuels exigés par un prêt type, par exemple une marge de crédit sur valeur domiciliaire ou un refinancement. En fait, aucun versement n’est exigé sauf en cas de déménagement ou de vente de l’habitation, qui sont des décisions entièrement de votre ressort. Les versements sont donc volontaires et, par conséquent, il n’y a aucun risque de défaut de remboursement.
  3. Vous pouvez choisir la manière dont vous touchez votre argent, soit sous forme de montant forfaitaire ou de versements réguliers. Vous pouvez dépenser l’argent que vous recevez sans condition ni exigence. Vous décidez de l’utilisation du prêt hypothécaire inversé qui peut aussi bien servir à rembourser un prêt hypothécaire existant qu’à rénover votre habitation ou à venir en aide à votre famille.
  4. Le revenu est considéré techniquement comme un prêt et non comme un revenu; il donc est exonéré d’impôt. En outre, tout versement provenant d’un prêt hypothécaire inversé n’est pas pris en compte lorsqu’on établit l’admissibilité au versement des prestations de la Sécurité de la vieillesse (SV), du Supplément de revenu garanti (SRG) ou du Régime de pensions du Canada (RPC); en outre, les montants perçus n’ont aucune incidence sur les prestations que vous pourriez recevoir.
  5. Contrairement à d’autres types de prêts, l’octroi d’un prêt hypothécaire inversé ne tient pas compte du revenu et des cotes de crédit de l’intéressé. Toutefois, compte tenu des règlements régissant les prêts hypothécaires au Canada, vous pourriez être obligé de communiquer de telles informations.
  6. Vous ne pouvez jamais être redevable d’un montant supérieur à la valeur de votre habitation. Si la valeur de cette dernière baisse, le prêteur hypothécaire absorbe la perte.

 

Le revers de la médaille…divers inconvénients :

  1. L’un des principaux inconvénients des prêts hypothécaires inversés est leur taux d’intérêt sensiblement plus élevé. En fait, les taux d’intérêt des prêts hypothécaires inversés sont généralement de loin supérieurs aux taux exigés pour des produits de crédit semblables, par exemple des prêts hypothécaires traditionnels ou une marge de crédit sur valeur domiciliaire. Par exemple, en ce moment, le plus important fournisseur de prêts hypothécaires impose un taux de 5,49 % aux prêts hypothécaires inversés à cinq ans. En revanche, les principales banques canadiennes accordent un taux de 2,65 % (en avril 2020) aux prêts hypothécaires ordinaires. La différence en points de pourcentage fera baisser considérablement la valeur nette de l’habitation, compte tenu notamment de l’incidence de l’intérêt composé si aucun versement n’est effectué avant la vente (à l’instar de la plupart des prêts hypothécaires au Canada, l’intérêt composé est calculé semestriellement). Il faut donc impérativement comparer les diverses solutions offertes.
  2. La valeur nette de votre habitation peut diminuer si les intérêts de votre prêt s’accumulent. On peut dire que plus le taux d’intérêt est élevé, plus les versements au fournisseur du prêt hypothécaire inversé sont conséquents alors que votre valeur nette risque d’avoir baissé une fois le remboursement terminé. Dans une conjoncture marquée par une hausse des taux d’intérêt, il arrive souvent que les montants d’intérêts accumulés réduisent à un tel point la valeur nette de l’habitation que vous risquez de vous retrouver sans argent.
  3. Si vous avez un prêt hypothécaire ou une marge de crédit hypothécaire en cours, les fonds en provenance d’un prêt hypothécaire inversé doivent servir en priorité à rembourser le prêt hypothécaire garanti par votre habitation. C’est pourquoi vous ne pouvez utiliser l’argent reçu selon votre bon vouloir.
  4. Il se pourrait qu’il vous soit impossible d’occuper votre habitation pendant votre retraite si vous rencontrez trop de difficultés, par exemple à monter à l’étage, à entretenir les lieux, à enlever la neige ou à tondre la pelouse. Vous pourriez donc décider de déménager et de vendre l’habitation. Il faut savoir qu’à ce moment, vous devrez rembourser la totalité du prêt hypothécaire inversé. Étant donné que vous pourriez ne pas disposer des fonds suffisants pour cette opération, il est essentiel de prévoir d’avance une telle éventualité.
  5. Si le prêt hypothécaire inversé a fait baisser considérablement la valeur nette de votre habitation, il se pourrait que vous ne disposiez pas des fonds nécessaires pour assurer la prestation ultérieure de soins de longue durée.
  6. Un prêt hypothécaire inversé réduit la taille de votre patrimoine et, par conséquent, réduit l’héritage légué à votre famille. Il est donc impératif d’évaluer l’incidence d’un prêt hypothécaire inversé sur votre succession.

Certains retraités souhaitent peut-être continuer à occuper leur habitation pour des raisons personnelles ou sentimentales. S’ils ne disposent d’aucune autre option financière pour ce faire, le prêt hypothécaire inversé est la seule avenue qui s’offre à eux. Toutefois, à l’instar de tout produit financier, il faut tenir compte de nombreux facteurs car il n’existe aucune solution miracle. Les prêts hypothécaires inversés répondent sans conteste à un besoin du marché, mais ne conviennent pas à tous les retraités. Il faut donc obtenir l’avis d’un spécialiste qui prendra en compte votre situation.

Nous vous signalons que nous n’offrons pas de prêts hypothécaires inversés. Toutefois, nous vous conseillons de nous téléphoner pour explorer diverses options comparables (514) 934‑‑0586 (Montréal) ou (403) 228-0949. Un conseiller en gestion de patrimoine de Rothenberg analysera votre situation pour savoir s’il existe d’autres choix répondant mieux à vos besoins.

Fonds ESG : aligner vos investissements en accord avec vos valeurs

Les fonds ESG représentent l’occasion idéale pour les investisseurs de placer leur argent là où sont leurs valeurs.

ESG funds doing good people and the planet

Parallèlement à une sensibilisation accrue du public aux questions environnementales et sociales, le mouvement de l’investissement responsable (IR) se développe rapidement au Canada et dans le monde. En 2020, les investisseurs ont investi plus de 3,2 milliards de dollars dans des fonds ESG basés au Canada.

ESG signifie Environnement, Social et Gouvernance d’entreprise. Pour faire partie d’un fonds ESG, les sociétés sous-jacentes doivent s’efforcer d’exercer des activités commerciales socialement responsables et écologiquement durables.

Qu’est-ce qui distingue les fonds ESG?

Investir dans des fonds ESG est un type d’investissement d’impact (« impact investment »). Les investissements d’impact sont des investissements réalisés pour générer des impacts sociaux et environnementaux positifs et mesurables ainsi qu’un rendement financier.

L’investissement d’impact et l’ESG encouragent les investisseurs à investir dans un but précis en intégrant des valeurs personnelles dans les décisions d’investissement. En conséquence, les investisseurs ont la possibilité d’avoir un impact positif dans le monde.

Dans le passé, l’investissement d’impact portait le stigmate selon lequel faire le bien compromettrait les rendements financiers. La crainte sous-jacente était que l’engagement d’une entreprise à donner la priorité aux personnes et à la planète ait un impact négatif sur ses performances financières et ses rendements pour les investisseurs.

Cette perception a changé à mesure que les mythes sur l’investissement ESG sont démystifiés et que de plus en plus d’investisseurs adoptent l’investissement d’impact. Une enquête réalisée en 2020 par l’Association des investisseurs responsables (RIA) a révélé qu’une majorité d’investisseurs souhaitent en savoir plus sur les opportunités d’IR par l’intermédiaire de leur conseiller financier.

Décomposer l’acronyme

L’investissement ESG adopte une approche holistique des décisions d’investissement, allant au-delà des contributions positives d’une entreprise à la société. L’investissement ESG prend également en compte le processus décisionnel et les pratiques de gouvernance d’une entreprise. Ce faisant, les investisseurs peuvent avoir une meilleure idée des efforts de l’entreprise pour être durable, ce qui, à long terme, peut aider à réduire le risque opérationnel ou de réputation d’un portefeuille.

Les trois catégories sur lesquelles les fonds ESG se concentrent sont l’environnement, le social et la gouvernance d’entreprise ; examinons de plus près chaque axe.

La vision environnementale des Fonds ESG recherche des entreprises engagées à agir dans le meilleur intérêt de l’environnement, que ce soit en adaptant leurs opérations et/ou en limitant les activités néfastes. Il se concentre sur les entreprises à travers le prisme de quatre grands thèmes : l’efficacité énergétique, la lutte contre la pollution, la gestion des déchets et l’aménagement du territoire.

L’aspect social concerne les pratiques des entreprises dans leurs interactions avec les salariés et les communautés locales. Les fonds ESG rechercheront des entreprises qui entretiennent des relations positives avec les groupes avec lesquels ils interagissent, y compris les fournisseurs, les clients et les communautés dans lesquelles ils opèrent. Cela donne aux investisseurs la confiance qu’ils ne soutiennent pas les pratiques abusives.

Enfin, la gouvernance concerne la gestion d’une entreprise. Les fonds ESG examineront de près la façon dont une entreprise se gère en ce qui concerne les droits des actionnaires, la transparence financière et les contributions à la communauté. Il recherchera également des entreprises ayant un haut niveau de raisonnable et de leadership. Ces critères peuvent être combinés avec d’autres questions telles que la diversité, l’inclusion de la main-d’œuvre, l’expérience des dirigeants/conseils d’administration et leur rémunération par rapport aux travailleurs.

ANNUAL COST FOR REGISTERED ACCOUNTS
Balance is over $200,000$0
Below $200,000$100
Tax-Free Savings Account$100
Registered Education Savings Plan$100
TRADING – Stocks and ETFs
Up to $ 25,0001.35% or $85 minimum
$ 25,000 – $ 50,0001.10%
$ 50,000 – $ 100,0000.85%
$ 100,000 and over0.60%
Equity trades over 100,000 shares (all accounts) *Effective July 15th, 2024 1/10th of a penny per share
BONDS
Purchase0.4% per year of term to a maximum of 3%
Sell0.3% per year of term to a maximum of 1%
COST-BASED ACCOUNTS
$1 – $1 million in assets1.20% per annum deducted monthly
Next $1,000,0000.75% per annum deducted monthly
Next $1,000,0000.50% per annum deducted monthly
Above costs are blended
MUTUAL FUNDSNo cost to purchase or switch. Costs if sold before a determined time frame.
OTHER
Partial account transfer-out$75
Full account transfer-out$175
Certificate registration$100
Partial registered plan de-registration$75
Full plan de-registration$100
Swap fee (per security)$50
Unscheduled RRIF withdrawal$50
Wire transfer$50
Certified cheque$50
Cheque – not sufficient funds/stop payment$50
DAP charge (per transaction)$75
Ineligible mutual fund (per month/per fund)$35
Drip enrollment (initial fee)$35
Securities held in safekeeping (minimum per month)$35
Research fee (per hour)$75
Estate settlements$175
Any fees for services provided by other financial institutions will be charged through at cost.

Il est à noter qu’un fonds intégrant des facteurs ESG peut toujours intégrer des sociétés présentant des risques ESG élevés ou de mauvaises pratiques ESG. Il peut s’agir de mieux comprendre ces risques, puis de s’engager avec les entreprises et, par la pression des actionnaires, d’améliorer leurs politiques et procédures ESG.

Qu’en est-il des rendements financiers?

Les recherches sur les fonds ESG montrent que les investisseurs ne renoncent pas nécessairement aux rendements pour investir de la manière dont ils sont fiers. Sur 2 200 études sur l’ESG, 90 % indiquent qu’il existe soit une relation positive avec la Performance Financière d’Entreprise (PFE), soit au moins aucune relation négative. Cela va à l’encombre des croyances traditionnelles selon lesquelles investir selon des critères d’investissement responsable, tels que les facteurs ESG, a un impact négatif sur les rendements financiers.

Selon une enquête annuelle 2020 auprès des investisseurs d’impact menée par le Global Impact Investing Network (GIIN), près de 88 % des personnes interrogées déclarent que leurs portefeuilles atteignent ou dépassent leurs attentes en matière de rendement. De leur côté, 35 % des professionnels de l’investissement déclarent investir dans l’ESG pour améliorer leurs rendements financiers.

En règle générale, les rendements des fonds ESG ont été répartis entre les quartiles de réussite, tout comme les fonds ordinaires. Par conséquent, leur succès n’est ni meilleur ni plus vulnérable que les fonds traditionnels non ESG en investissant de manière durable. Plus récemment, les fonds ESG ont surperformé le S&P500, bien que les avis sur les raisons de cette situation restent partagés.

Les frais des fonds ESG sont également assez variés, certains craignant que les fonds ESG ne comportent des frais plus élevés que la moyenne. Cependant, plus de la moitié de tous les fonds ESG comportent des frais moyens ou inférieurs à la moyenne. La concurrence accrue a entraîné une baisse des frais des fonds ESG, les rendant particulièrement accessibles aux investisseurs de tous bords.

En conclusion

L’investissement ESG nous offre un moyen de faire la différence avec nos dollars d’investissement. Il ne s’agit pas seulement de bonnes affaires. Il s’agit aussi penser à l’avenir de nos enfants et de laisser un héritage dont nous sommes fiers.

Pour en savoir plus et investir dans des fonds ESG, veuillez communiquer avec nous au 514 934-0586 (Montréal) ou au 1 800 456-0949 (Calgary) ou nous envoyer un courriel à inforequest@rothenberg.ca

Que savez-vous sur nous?

Nous avons préparé cette courte série de 10 questions pour vous amuser et vous permettre de vérifier ce que vous savez de Gestion de Capitaux Rothenberg. Testez vos connaissances ou apprenez à nous connaître (mieux)!

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Préparer son budget pour un monde post-COVID : 5 questions à se poser

Voici cinq questions à vous poser pour examiner de plus près la manière dont vous gérerez vos finances lorsque les choses reviendront à la normale.

À mesure que les restrictions en matière de santé publique s’assoupissent et que de plus en plus de personnes sont vaccinées, nous pouvons nous attendre à ce que la vie revienne bientôt à quelque chose ressemblant à la «normale ». Le retour à un semblant de normalité sera toutefois un processus progressif. C’est maintenant l’occasion de commencer à réfléchir à la façon de se préparer financièrement à un monde post-COVID.

Voici 5 questions à vous poser pour examiner de plus près la manière dont vous gérerez vos finances dans un monde postpandémie :

#1 : Quelles dépenses pré-COVID reviendront lorsque les choses retourneront à la normale ?

Vos habitudes de dépenses ont probablement changé à cause de la crise du COVID. Vous avez peut-être remarqué que vous n’avez pas dépensé autant pour les voyages, les restaurants et les événements culturels. Par conséquent, vous avez peut-être augmenté vos dépenses dans d’autres domaines, comme les achats en ligne ou les livraisons de nourriture, ou vous avez possiblement même économisé de l’argent.

Quoi qu’il en soit, avec la réouverture, nous serons bientôt confrontés à de nombreuses tentations de dépenses. Cela peut aller de l’achat d’une tasse de café ou d’un repas dans votre restaurant préféré à un voyage dans le lieu de rêve qui figure sur votre « bucket list » (liste de choses à faire avant de mourir).

Prendre le temps de réfléchir à la façon dont vous dépensiez votre argent avant la pandémie et à ce que vous aimeriez faire lorsque les choses reviendront à la normale peut vous donner une idée des dépenses que vous aurez après le COVID et vous permettre de planifier vos finances en conséquence.

#2 : Quelles dépenses COVID resteront (ou disparaîtront) lorsque les choses reviendront à la normale ?

Vous avez peut-être réduit ou supprimé complètement les dépenses pour certaines choses, comme les vacances et les sorties en famille. Mais la pandémie a peut-être aussi entraîné des dépenses supplémentaires, augmentant vos dépenses dans une catégorie donnée ou entraînant de nouveaux coûts.

Il se peut que vos frais de divertissement aient augmenté parce que vous avez acheté des abonnements numériques supplémentaires ou utilisé davantage de bande passante. Vous avez peut-être contracté un prêt pour effectuer des rénovations, par exemple pour transformer une partie de votre maison en espace de travail, que vous êtes en train de rembourser. Il peut également s’agir d’une dépense relativement faible, comme des produits d’hygiène et de nettoyage. Si vous avez une famille ou des enfants en bas âge, vous avez peut-être constaté une augmentation de vos factures d’épicerie ou des frais de garde d’enfants, deux dépenses qui risquent de rester élevées même si les choses reviennent à la normale.

Il est donc essentiel d’examiner comment vos habitudes de dépenses ont changé pendant la pandémie. Prévoyez-vous que ces dépenses se poursuivront ? Y a-t-il des dépenses que vous pouvez réduire ou éliminer parce qu’elles ne sont plus nécessaires ?

#3 : Comment une augmentation de 1 à 2 % des taux d’intérêt affecterait-elle votre budget ?

Pendant la pandémie, la Banque du Canada a baissé son taux directeur à un niveau historiquement bas pour encourager les emprunts et les dépenses. Vous avez peut-être saisi l’occasion d’assumer des dépenses ou des dettes plus importantes pendant cette période. Pour l’instant, il semble que les taux d’intérêt resteront bas. Toutefois, les taux d’intérêt augmenteront probablement à mesure que l’économie se redresse. Cela signifie que vous pourriez gagner un peu plus d’intérêt sur votre compte d’épargnes, mais ça peut aussi signifier que le coût du remboursement de votre prêt sera plus élevé.

#4 : Quel effet aurait sur votre budget une augmentation de 1 à 3 % de votre taux d’imposition marginale ?

Vous avez peut-être connu des changements dans votre revenue mensuel ou annuel pendant la pandémie en raison des paiements de relance ou de la perte d’emploi ou de revenu, mais lorsque les choses rebondissent, vous pouvez vous attendre à ce qu’elles se rétablissent également. Si vous percevez davantage de revenus, votre taux marginal d’imposition augmentera. Par conséquent, vous devrez davantage d’impôts au gouvernement. Lorsque la saison fiscale 2022 arrivera, vous devrez vous assurer que vous pourrez payer vos taxes. Planifier à l’avance implique de réévaluer votre budget.

#5 : Comment pouvez-vous optimiser vos investissements ?

De nombreuses opportunités d’investissements intéressants sont nées de la pandémie, mais nous constatons déjà une stagnation du cours des actions et des baisses depuis janvier pour les entreprises les mieux notées pendant la pandémie, tels qu’Amazon, Netflix et Peloton. Il est important de réévaluer vos placements, de revoir vos sources de revenus et de voir comment elles seront affectées par la réouverture des marchés.

La consultation d’un conseiller de confiance est le moyen le plus sûr et le plus efficace de formuler un plan d’investissement pour tirer parti des opportunités actuelles du marché tout en planifiant l’avenir.

Conclusion

Quelle que soit l’évolution de la situation financière de votre famille au cours de la pandémie, l’évaluation de vos besoins actuels, de vos objectifs et des possibilités qui s’offrent à vous pour l’avenir peut vous aider à sortir de la dynamique de la pandémie en toute stabilité financière.

Investir dans les CPG de la bonne façon : explication de l’échelonnement des CPG

En appliquant cette stratégie, vous pouvez profiter des taux de CPG les plus compétitifs, maximiser potentiellement vos rendements et, surtout, vous protéger en cas de baisse des taux d’intérêts.

Faites une recherche rapide sur Google pour trouver les « meilleurs taux de CPG » et vous constaterez qu’il existe une variété d’options offertes de taux de certificats de placement garanti (CPG) parmi lesquels vous pouvez choisir.

Assurément de nombreuses options sont une bonne chose, mais cela peut aussi être une source d’inquiétude: Combien dois-je investir? Quelle est la durée du CPG que je devrais choisir? Comment puis-je maximiser mes rendements? Que se passe-t-il si les taux d’intérêt baissent? Comme pour tout produit que vous envisagez d’acheter, financier ou autre, vous aurez des questions.

Heureusement, il existe une stratégie éprouvée appelée « L’échelonnement des CPG » qui aide à réduire considérablement les incertitudes et à s’assurer que vos CPG demeurent à l’avant-garde des développements qui pourrait nuire à vos rendements.

Mais d’abord, que sont les CPG?

Les CPG sont essentiellement des prêts que vous faites à une banque, à une caisse populaire ou à une institution financière pour une certaine période de temps, aussi appelée un terme. Les termes peuvent varier de 30 jours à 1, 2, 3, 4 ou 5 ans. Habituellement, ce capital est « immobilisé », ce qui signifie que vous n’y avez pas accès avant l’échéance du CPG.

En retour, vous recevez un pourcentage de votre dépôt initial comme paiements réguliers. Selon le CPG, vous pourriez recevoir des intérêts mensuels, semestriels ou annuels ou à l’échéance. Les façons les plus populaires de recevoir des intérêts sont les versements annuels ou le paiement à l’échéance.

Pourquoi devrais-je investir dans un CPG?

Les placements à revenu fixe comme les CPG assure la tranquillité d’esprit et la sécurité, principalement parce que vous n’avez pas à vous soucier de perdre votre investissement initial. D’ailleurs, le retour sur votre investissement initial est garanti.

Vous obtenez également le confort supplémentaire de savoir exactement de combien votre investissement va grandir et, à son tour, combien d’argent vous empocherez. Dans le cas des CPG, il s’agit de votre placement initial complet plus les intérêts!

Comparativement à d’autres produits de placement, les CPG sont particulièrement attrayants parce que vous pouvez compter sur eux pour vous assurer un revenu régulier.

L’ajout de CPG à votre portefeuille peut également vous aider à réduire votre risque de placement global. Pour cette raison, votre portefeuille devrait inclure des options plus sûres ayant failble risque qui génèrent un revenu constant, comme les CPG. Quel que soit le montant, une garantie de revenu est particulièrement utile pour préparer l’avenir.

Le compromis risque-rendement des CPG…

Les CPG sont considérés comme des placements à faible risque puisque vous êtes assuré de récupérer le montant que vous investissez. Toutefois, les CPG ne sont pas la meilleure option si vous êtes à la recherche d’une croissance exceptionnelle.

Pour vous donner une idée, en avril 2021, les taux plus élevés de CPG, peu importe la durée du terme, se situaient autour de 2%. Par ailleurs, l’indice S&P 500 (GSPC), qui est considéré comme un bon indicateur du marché américain, a produit un rendement annuel moyen de 13,6 % (date d’août 2020).

De plus, les CPG ne sont pas un bon placement si vous avez besoin d’un accès immédiat à votre argent; les retraits anticipés peuvent entraîner des pénalités.

Cela dit, les taux des CPG, comme ceux des comptes d’épargne, des prêts hypothécaires et des cartes de crédit, changent au fil du temps, soit qu’ils augmentent ou diminuent. Alors que le taux soit garanti une fois que vous avez immobilisé votre argent pour la durée du terme, vous ne pouvez pas savoir avec certitude vers quelle direction se dirigent les taux du CPG. Il est tout à fait possible que, dans quelques mois, les taux des CPG seront plus élevés qu’ils ne le sont aujourd’hui. Il est tout aussi possible qu’ils sont à la baisse.

Étant donné qu’il peut s’agir d’un jeu de hasard quant à prédire dans quel sens les taux des CPG iront, il est important d’avoir une stratégie en place qui peut vous aider à obtenir les taux les plus compétitifs sur le marché, mais aussi de vous protéger en cas de baisse des taux d’intérêt. C’est exactement ce que fait l’échelonnement des CPG.

Voici comment fonctionne l’échelonnement des CPG

L’échelonnement des CPG consiste à répartir le montant total que vous prévoyez investir entre plusieurs CPG, en vous assurant que vous avez un CPG qui arrive à échéance chaque année, puis en réinvestissant le montant qui vient à échéance au meilleur taux disponible.

L’échelonnement des CPG est une stratégie qui met l’accent sur l’achat de CPG ayant des dates d’échéance différentes et, par conséquent, des taux d’intérêt différents. De cette façon, vous n’avez pas à deviner la direction des taux d’intérêt.

Grâce à cette approche, vous obtiendrez toujours le taux de rendement moyen le plus élevé, peu importe la façon dont les taux d’intérêt fluctuent et vous serez en mesure de profiter de l’occasion que présentent les taux à la hausse.

Par exemple, vous avez 30 000 $. Selon la stratégie d’échelonnement des CPG, vous investiriez 10 000 $ à chaque terme. Nous vous recommandons de partager votre argent à parts égales entre les termes de 1, 2 et 3 ans. Comme l’explique Tina Patel, notre gestionnaire de service des CPG : « Trois ans, c’est une bonne période pour voir tous les changements et les mouvements en cours. »

Cela vous donnerait 10 000 $ de capital venant à échéance chaque année pendant trois ans, que vous pourrez ensuite réinvestir dans un autre CPG de trois ans. Le taux des CPG de trois ans sera toujours plus élevé qu’un taux d’un an ou de deux ans, de sorte que vous obtenez toujours le taux le plus élevé disponible. En règle générale, plus le terme du CPG est long, plus le taux d’intérêt est élevé.

« Si les taux augmentent, alors vous avez de l’argent à réinvestir dans un taux plus élevé parce que vous avez une échéance à suivre. Si les taux baissent, vous vous protégez parce que tout n’arrive pas à échéance en même temps », explique Mme Patel.

Un avantage supplémentaire de cette approche est que vous aurez toujours accès à une partie de votre argent à échéance chaque année. Donc, non seulement vous bénéficiez des taux les plus compétitifs nécessaire à la croissance de vos placements, vous êtes également en mesure d’accéder facilement à votre capital selon vos besoins.

Comme le dit le vieux dicton, “ne mettez pas tous vos œufs dans le même panier”. Comme les œufs, cela est également vrai pour les CPG.

Devrais-je faire gérer seul les impôts ou engager un professionnel de l’impôt ?

Les logiciels d’impôt en ligne sont avantageux en termes de budget et de temps, mais selon la complexité de votre situation, il peut être préférable de faire appel à un professionnel de l’impôt.

Le 30 avril 2021 est la date limite officielle pour produire votre déclaration de revenus pour l’année 2020 et payer les impôts dus à l’Agence du revenu du Canada (ARC).

Pour ceux qui se trouvent au Québec: Vous pouvez produire votre déclaration d’impôt provincial jusqu’au 30 mai 2021 et vous ne serez pas pénalisé.

La saison des impôts est arrivée, une fois de plus. Si vous êtes un vétéran de la déclaration de revenus, vous êtes probablement à l’aise pour remplir vous-même votre déclaration de revenus, sans aucune aide. Il y a de la satisfaction à le faire soi-même et, en fin de compte, vous pourriez même y prendre plaisir.Les Canadiens aiment toujours autant leurs remboursements d’impôts, mais avec un nombre croissant de personnes qui demandent des remboursements à cause d’erreurs coûteuses, vous vous demandez peut-être si vous devez vous débrouiller tout seul ou si le moment est venu de faire appel aux services d’un expert fiscal.Une erreur sur votre déclaration de revenus peut entraîner une pénalité, des frais d’intérêt ou même un contrôle par l’ARC (CRA en anglais). Mais le plus important, c’est que vous pouvez passer à côté de déductions ou de précieux crédits d’impôt.Continuez à lire pour savoir comment décider si un logiciel d’impôt fera l’affaire ou si vous avez besoin de l’aide d’un professionnel.Quand déclarer ses impôts soi-mêmePréparer votre déclaration d’impôts personnelle devrait être facile si votre situation financière est simple. Nous appellerons ces personnes des bricoleurs fiscaux, où DIY signifie « Do-It-Yourself » !TurboTax et d’autres logiciels de préparation des déclarations de revenus disponibles dans le commerce vous poseront une série de questions sur vos finances et vous indiqueront les crédits et déductions auxquels vous pouvez prétendre. Ils ne nécessitent de réaliser aucun calcul mathématique ni aucune connaissance approfondie du code des impôts.Mais comment déterminer si vous êtes dans une situation simple ?

  • Si la préparation de vos impôts ne vous oblige qu’à extraire des informations d’une poignée de documents préparés par d’autres, comme le T4, un logiciel d’impôt de base vous conviendra.
  • Si votre situation fiscale n’a pas changé au cours de l’année dernière, que vous travaillez pour un employeur, que vous êtes célibataire sans enfant, etc., votre déclaration d’impôt sera très simple.
  • Si rien ne se passe dans votre vie qui puisse compliquer votre situation fiscale, cela ne vaut peut-être pas la peine de payer un professionnel.

Quand faire appel à un professionnelDans certaines situations, il est préférable d’engager un comptable plutôt que d’essayer de remplir vous-même votre déclaration de revenus.Les préparateurs d’impôts se tiennent au courant des codes fiscaux ainsi que des lois fiscales provinciales et fédérales.Un comptable peut vous recommander les déductions et les exemptions auxquelles vous avez droit et vous aider à planifier votre croissance future en vous informant de tout changement des exigences fiscales.Engagez un expert fiscal en cas de :

  • Changements majeurs dans la vie

Si vous vous êtes récemment marié (félicitations), vous pourriez avoir besoin d’un professionnel pour vous guider sur le statut de déclaration fiscale à utiliser. Bien que la plupart des couples préfèrent faire une déclaration conjointe, il y a certaines situations où il est plus logique de faire une déclaration séparée.Il ne s’agit pas seulement du mariage. D’autres événements marquants de la vie, comme l’agrandissement de votre famille et la naissance d’un enfant, la perte ou l’obtention d’un nouvel emploi, l’obtention d’un diplôme universitaire et un déménagement, peuvent tous avoir un impact sur votre déclaration de revenus et votre remboursement total potentiel.Un comptable peut vous aider à vous informer sur tout nouvel avantage ou toute nouvelle tactique pour minimiser votre obligation fiscale. De cette façon, vous pourrez profiter de tous les avantages fiscaux qui vous sont offerts.Un fiscaliste peut également vous aider à apprendre à naviguer dans votre déclaration de revenus cette année, afin que vous vous sentiez en confiance pour la remplir vous-même à l’avenir. Vous pouvez toujours recommencer à faire vos déclarations vous-même si d’autres changements majeurs ne se produisent pas dans votre vie l’année suivante.

  • Défaut de paiement dans le passé

Si vous avez omis de remplir les déclarations d’impôts nécessaires au cours des dernières années, adressez-vous à un expert fiscal.Ils connaissent les programmes offerts par l’ARC pour les personnes dans cette situation. Un comptable fiscal peut vous aider à remplir des déclarations sur plusieurs années, ce qui peut vous prendre beaucoup de temps à maîtriser, surtout à l’approche de la date limite de dépôt des déclarations fiscales, le 30 avril.Cela vous donne l’assurance que votre déclaration de revenus est produite correctement et la tranquillité d’esprit que vous êtes en règle avec l’ARC.

  • Propriétaire d’une entreprise

Si vous êtes propriétaire d’une entreprise, vous devriez probablement envisager d’engager un comptable pour préparer votre déclaration de revenus.Presque toutes les transactions financières s’accompagnent d’une sorte de conséquence fiscale. Votre comptable vous évitera de commettre des erreurs coûteuses, vous aidera à déclarer les éléments fiscaux avec précision et à maximiser les déductions.Vous devriez également faire appel à un préparateur d’impôt si vous avez acheté un bien locatif au cours de l’année.

  • Ne pas avoir le temps, tout simplement

La préparation des impôts implique la collecte de documents, l’examen des procédures et le remplissage des formulaires fiscaux. Il s’agit d’un processus notoirement lent et ennuyeux, ce qui explique pourquoi tant d’entre nous le redoutent et le remettent à la dernière minute.Si cette tâche peut sembler être un simple projet de week-end pour certains Canadiens, pour d’autres, ce n’est pas aussi évident. Peut-être pensez-vous que le temps que vous passeriez à faire vos impôts serait mieux employé ailleurs.Envisagez d’engager un expert fiscal si vous n’avez pas le temps ou la patience de préparer votre propre déclaration.En conclusionIl n’y a pas de réponse universelle correcte lorsqu’il s’agit de déclarer ses revenus avec un logiciel ou de faire appel à un comptable ou à un fiscaliste. En définitive, le choix se résume à la complexité de votre situation fiscale.Si votre situation fiscale est assez simple et que vous avez une certaine confiance dans votre capacité à travailler étape par étape avec un logiciel d’impôt, il est relativement moins cher de faire vos propres impôts de cette façon.Si votre situation fiscale est plus compliquée, l’embauche d’un préparateur d’impôts peut en valoir la peine.Assurez-vous simplement que le préparateur possède les bonnes références et des témoignages élogieux pour éviter d’être victime de fraudes fiscales.À vous de jouer…Que vous remplissiez vous-même votre déclaration de revenus ou que vous fassiez appel à quelqu’un d’autre pour le faire, envoyez votre déclaration avant le 30 avril.

Le 30 avril 2021 est la date limite officielle pour produire votre déclaration de revenus pour l’année 2020 et payer les impôts dus à l’Agence du revenu du Canada (ARC).

Pour ceux au québec: Vous pouvez produire votre déclaration déclaration d’impôt provincial jusqu’au 30 mai 2021 et vous ne serez pas pénalisé.

10 déductions et crédits d’impôt auxquels vous pouvez avoir droit

La saison des impôts peut être stressante, mais elle peut aussi être une période passionnante pour votre portefeuille.

Le 30 avril 2021 est la date limite officielle pour produire votre déclaration de revenus pour l’année 2020 et payer les impôts dus à l’Agence du revenu du Canada (ARC).

Pour ceux qui se trouvent au Québec: Vous pouvez produire votre déclaration d’impôt provincial jusqu’au 30 mai 2021 et vous ne serez pas pénalisé.

Il existe une série de déductions et de crédits d’impôt auxquels vous pouvez prétendre et qui, lorsqu’elles sont appliquées, peuvent réduire ou éliminer le montant de l’impôt que vous devez. Cela signifie moins d’argent allant au fisc et plus d’argent dans votre poche.

Vous pouvez aussi finir par bénéficier d’un remboursement d’impôts, comme des millions de personnes, c’est-à-dire un versement direct du gouvernement, dont le montant moyen par déclaration rapportée est de 1 858 $.

Un professionnel de l’impôt saura à quelles déductions et à quels crédits vous avez droit. Au cas où vous auriez décidé de renoncer à toute aide et de braver le système fiscal vous-même, poursuivez votre lecture pour découvrir les déductions fiscales et les crédits les plus courants auxquels vous ou votre famille pourriez avoir droit.

Notez que contrairement au montant personnel de base, qui est automatiquement appliqué lorsque vous faites votre déclaration en ligne, vous devrez très probablement entrer manuellement les montants pour bénéficier des déductions et des crédits indiqués.

Sur cette note, creusons un peu…

1. [NOUVEAU] Frais de bureau à domicile pour les employés

Type : Déduction

Le formulaire requis à cet effet est Le formulaire T2200 ou T2200s. Les résidents du Québec ont besoin d’un TP-64.3-V.

Avez-vous travaillé à domicile pendant l’année 2020 en raison de la COVID-19 ? Il y a de fortes chances que oui. Si c’est le cas, vous pouvez peut-être réclamer certains frais remboursables liés à votre emploi dans votre déclaration d’impôts, à condition que vous n’ayez pas déjà été remboursé par votre employeur. Vous pouvez calculer vos dépenses de bureau à domicile en utilisant la Calculatrice en ligne de l’ARC.

L’ARC propose également une méthode forfaitaire temporaire comme alternative pour simplifier votre demande. Mais le montant maximum que vous pouvez réclamer avec cette méthode est de 400 $, ce qui peut ne pas couvrir toutes vos dépenses. Vous trouverez de plus amples informations sur ce taux forfaitaire ici sur le site de l’ARC.

2. En raison de l’âge

Type : crédit d’impôt non remboursable

Vous pouvez avoir droit au crédit d’impôt en raison de l’âge si vous avez 65 ans ou plus à la fin de l’année d’imposition. Si votre revenu est inférieur à 38 508 $, vous avez droit à la déduction intégrale du montant en raison de l’âge, soit 7 637 $.

Plus votre revenu est élevé, moins vous recevrez. Si votre revenu est supérieur à 89 421 $ pour 2020, vous n’êtes pas admissible à la déduction du montant du revenu en raison de l’âge.

3. Montant du revenu de pension

Vous pourriez être en mesure de réclamer jusqu’à 2 000 $ si vous déclarez les paiements de pension ou de rente admissibles dans votre déclaration de revenus. Le revenu provenant de votre Fonds Enregistré de Revenu de Retraite (FERR, ou RRIF en anglais) est admissible au revenu de pension de 2 000 $.

Pour une liste détaillée des revenus de pension et de rente éligibles, cliquez ici si vous avez 65 ans ou moins et cliquez ici si vous avez 65 ans ou plus.

4. Frais médicaux

Type : crédit d’impôt non remboursable

Par le biais des impôts, vous payez les services médicaux, mais il y a de nombreux frais médicaux que vous devrez payer de votre poche. Faites le total des reçus pour les dépenses médicales effectuées au cours de la période de 12 mois se terminant en 2020, et pour lesquelles vous n’avez pas été remboursé. Vous pourrez peut-être réclamer les frais médicaux admissibles jusqu’à 2 397 $ ou 3% de votre revenu net, le montant le moins élevé étant retenu, pour être comptabilisés dans un crédit.

L’un des frais médicaux les plus courants que vous pouvez réclamer est celui des médicaments sur ordonnance et des services dentaires qui ne sont pas à des fins esthétiques. Vous pouvez également demander le remboursement des frais médicaux de votre époux ou conjoint de fait, de vos enfants ou d’autres personnes à charge.

5. [NOUVEAU] Abonnement aux actualités numériques

Type : crédit d’impôt non remboursable

Vous pouvez obtenir un abonnement aux informations numériques pour un an aussi bas que le coût d’un sandwich, mais cela peut aussi vous coûter 100 $ ou plus par an. Si vous êtes un consommateur avide de nouvelles et que vous avez plusieurs abonnements, les coûts peuvent s’accumuler.

Heureusement pour vous, il s’agit de la première année d’imposition où vous pourrez demander le remboursement de toutes les dépenses jusqu’à 500 $ que vous avez payées au cours des 12 derniers mois pour un abonnement à des nouvelles numériques.

La seule réserve est que l’abonnement doit avoir été acheté auprès d’une organisation de journalisme canadienne qualifiée, ou QCJO. Les abonnements aux nouvelles numériques admissibles comprennent le Globe and Mail et le Toronto Star Newspapers. Voici une liste complète et actualisée des abonnements aux nouvelles numériques admissibles.

6. Crédit d’impôt étranger

Type : crédit d’impôt non remboursable

Vous êtes tenu de remplir Le formulaire T2209.

Vous avez peut-être de l’argent à l’étranger qui génère des revenus, ce qui est le cas probable de personnes telles que les expatriés et les étudiants internationaux. Vous devrez déclarer ce revenu dans votre déclaration d’impôts, mais vous pourrez peut-être demander ce crédit en fonction des conventions fiscales. Pour plus d’informations, consultez le site Web de la CRA.

7. Crédit d’impôt pour personnes handicapées

Type : crédit d’impôt non remboursable

Vous devez remplir et faire approuver par l’ARC Le formulaire T2201 si vous faites une demande de CIPH pour la première fois.

Même si vous ne vous considérez pas comme handicapé, si vous avez des problèmes de santé importants qui affectent votre vie quotidienne, vous avez peut-être droit à une aide financière sous la forme du crédit d’impôt pour personnes handicapées (CIPH). Des centaines de milliers de personnes font appel au CIPH chaque année, et le gouvernement distribue plus de 1,3 milliard de dollars d’aide.

Pour 2020, vous pourrez réclamer jusqu’à 8 416 $ si vous êtes admissible. Tout d’abord, vous devez répondre aux critères d’invalidité de l’ARC et recevoir une attestation d’un professionnel de la santé.

Des milliers de conditions médicales entrent dans le champ d’application du CIPH

Vous pouvez savoir si vous avez droit au CIPH ici.

8. [NOUVEAU] Crédit d’impôt pour les aidant naturel

Type : crédit d’impôt non remboursable

Les personnes qui prennent soin d’une personne à charge ayant une déficience physique ou mentale peuvent être en mesure de réclamer jusqu’à un maximum de 7 276 $. Pour en savoir plus, consultez le site Web de l’ARC ici.

9. Montants des frais de scolarité, de l’enseignement et des manuels scolaires

Type : crédit d’impôt non remboursable

Vous devez avoir reçu le formulaire T2202TL11ATL11C ou TL11D de votre établissement d’enseignement.

Ce n’est pas un secret que l’éducation est coûteuse. Heureusement, vous pouvez déduire de votre déclaration d’impôt les coûts liés à votre éducation, tels que les frais de scolarité ou les coûts des manuels scolaires.

Le montant auquel vous avez droit dépend du montant fixé par votre province ou territoire. Malheureusement, les crédits d’impôt fédéraux pour l’éducation et les manuels scolaires ont été supprimés en 2017.

10. Régime enregistré d’épargne-retraite (REER, ou RRSP en anglais)

Avez-vous cotisé en 2020 à votre REER ? Si c’est le cas, vous pouvez déduire le montant total de la cotisation de votre revenu imposable. Vous pouvez en savoir plus sur les REER ici.

En conclusion…

Demander des déductions et des crédits est l’une des meilleures façons de réduire le montant total que vous paierez en impôts. Lorsque vous réduisez votre revenu imposable, vous diminuez votre taux d’imposition effectif. Vous pouvez également bénéficier d’un versement important de la part du gouvernement, autrement dit d’un remboursement d’impôts. Pour garder plus d’argent dans vos poches, vous voudrez demander autant de déductions et de crédits que possible.

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