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Auteur/autrice : kiara

Les fonds communs de placements et les actions individuelles

Permettez-moi tout d’abord de préciser que les explications qui suivent seront faciles à comprendre, et je suis sûr que chacun de vous se sentira plus confiant pour constituer son propre portefeuille.

Représentez-vous le fonds commun de placement comme un gros baril vide. Près du baril se tiennent quelques personnes (jusqu’à une dizaine, selon le fonds) embauchées pour présider à son contenu. L’idée est de remplir ce baril en y mettant le plus d’argent possible. Le montant accumulé peut se compter en millions ou en milliards de dollars.

Des représentants, qui travaillent pour les créateurs de chaque baril, sont chargés de trouver des particuliers et de les convaincre que le baril est un bon endroit pour y déposer leur argent, chaque mois ou par montants forfaitaires. Au fur et à mesure que l’argent rentre, les personnes responsables de chaque baril, qu’on appelle des gestionnaires de portefeuille, investissent sur le marché boursier, en achetant des actions d’entreprise, des obligations, des bons du Trésor, etc. Il existe aujourd’hui des milliers de barils de ce genre (les fonds communs de placement).

Certains se spécialisent en investissant seulement dans un pays ou dans un secteur d’activité, tandis que d’autres diversifient leurs placements en les répartissant dans plusieurs régions ou secteurs. Il n’est pas rare qu’un fonds soit investi dans une cinquantaine de titres différents.

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Pourquoi devrait-on investir dans un fond commun de placement?

La raison principale est la possibilité d’obtenir de la diversification même lorsqu’on dispose d’un petit capital. Si un épargnant a seulement 1 000 $ à investir, il peut les placer dans le baril, de sorte que, sur ses 1 000 $, 50 ¢ soient affectés à une action, 2 $ à une autre, etc. C’est une opération qu’il est impossible de faire par vous-même.

L’autre raison est l’accès à une gestion professionnelle.

Même si le rendement antérieur n’est pas garant du rendement futur, il vous donne une idée de la compétence des gestionnaires de portefeuille. Avec l’aide d’un conseiller en placement qui n’a pas de lien avec un fonds quelconque, vous pourrez déterminer les fonds qui remplissent vos critères.

Pourquoi recourir aux services d’un conseiller de placement indépendant

Lorsqu’on dispose d’un capital plus important, il est possible de tirer parti du meilleur des deux mondes, en plaçant une partie de son argent dans des fonds communs stables et une autre partie dans différentes entreprises soigneusement sélectionnées.

J’aimerais souligner que, pour obtenir des conseils objectifs, il est important de faire affaire avec un conseiller en placement qui n’est lié à aucun groupe de barils (fonds communs de placement), mais qui peut choisir parmi presque tous les fonds offerts en fonction de vos besoins particuliers, que vous aspiriez à recevoir un revenu ou à faire croître votre capital.

Pourquoi investir dans des actions individuelles

Dans l’idéal, ce conseiller en placement, qui n’est pas uniquement agréé pour vendre des fonds communs de placement, peut vous proposer des actions ordinaires ou privilégiées, des obligations, des bons du Trésor, etc. Le fait d’avoir accès à ces possibilités pour augmenter la valeur de son portefeuille constitue un avantage indéniable. Sans entrer dans les détails techniques, disons que la diversification offerte par les fonds communs de placement peut constituer ou non un élément de sécurité.

En effet, lorsqu’on répartit ses placements tous azimuts, on s’expose aux fluctuations du marché boursier en général, qu’elles soient à la hausse ou à la baisse. Par contre, grâce à de judicieux conseils sur les actions individuelles, on aurait pu, par exemple, éviter complètement les effets de la dernière chute du prix du pétrole de 115 $ à 50 $.

Grâce à des conseils, on aurait pu prévoir cet événement et liquidé ses placements dans des sociétés pétrolières.

Grâce à des conseils, on aurait pu acheter des actions du groupe « FANG » (Facebook, Apple, Netflix et Google) et multiplier plusieurs fois son capital.

Grâce à des conseils, on investirait dans des sociétés bien choisies, dont chacune vaut des milliards de dollars, possède au moins un milliard de dollars en argent comptant à la banque et verse régulièrement des dividendes à un taux supérieur à celui des CPG et des bons du Trésor.

Voilà! J’espère que ces éclaircissements faciliteront vos décisions de placement dans le futur.

Pourquoi j’ai besoin d’une assurance-vie

J’ai commencé ma carrière comme représentant, en vendant des produits d’assurance-vie.
Ouais, cela me rappelle de ce que Woody Allen disait :
« Ce qu’il y a de pire que de mourir, c’est d’être enfermé dans un ascenseur en compagnie d’un vendeur d’assurance-vie. »
Pas très flatteur ni très valorisant.

J’ai cependant persévéré. J’ai encore un souvenir très vif, même quarante ans plus tard, de la première fois qu’un de mes clients est décédé.

J’avais vendu une police de 100 000 $ à un jeune homme, marié et père de deux enfants. Nous savions tous les deux qu’il avait besoin d’une couverture beaucoup plus importante, mais c’est tout ce qu’il pouvait se payer. Moins d’un an plus tard, sa femme m’a appelé pour m’annoncer la terrible nouvelle. Même s’il avait seulement trente-trois ans, une crise cardiaque foudroyante l’avait terrassé.

Sa femme, en pleurs, me suppliait de l’aider. Submergée par les frais funéraires, des factures mensuelles qu’elle n’avait jamais vues auparavant, elle se sentait complètement dépassée.

Quelques jours plus tard, j’ai sonné chez elle et je lui ai remis un chèque.

Elle a pleuré à nouveau, en m’expliquant que, chaque fois qu’elle répondait à la porte, elle trouvait quelqu’un prêt à lui remettre un document, une facture ou autre chose qui n’avait pas été payée. J’étais le premier à tendre le bras pour lui remettre un chèque – de 100 000 $.

Représentez-vous son mari, si vous le voulez, comme une machine très spéciale installée dans le sous-sol. Chaque vendredi, elle descendait au sous-sol et appuyait sur un gros bouton rouge de la machine, et il en sortait un chèque couvrant tous ses besoins pour la semaine. Maintenant, cette machine avait cessé de fonctionner. C’était la fin des chèques hebdomadaires.

L’assurance peut jouer le rôle de cette machine qui fournit le chèque hebdomadaire.

<strong>Le montant d’assurance-vie dont j’ai besoin</strong><strong> :</strong>

Pour cette illustration, nous supposerons que le ménage comprend un seul gagne-pain et que l’autre conjoint consacre une grande partie de son temps à élever les enfants. Le gagne-pain ramène à la maison un revenu après impôt de 45 000 $, soit 865,00 $ par semaine. Son revenu annuel brut est de 75 000 $.

La question est la suivante : quelle prestation d’assurance vie peut fournir un revenu net de 45 000 $, si ce montant forfaitaire est investi à un taux de rendement raisonnable? À mon avis, un rendement de 5 % du capital est un taux très réaliste, compatible avec un degré de risque raisonnable qui ne causera pas de stress excessif. Un montant de 1 500 000 $ placé à 5 % produit un revenu de 75 000 $.

Comme le revenu est composé en partie de gains en capital et de dividendes, son imposition est plus favorable que celle d’un revenu (en salaire) équivalent et laisse au bénéficiaire un montant net plus élevé que 45 000 $. Ce revenu supplémentaire peut être ajouté chaque année au placement initial de 1 500 000 $ afin de compenser l’effet de l’inflation.

Dans mon prochain dialogue, je traiterai des différents types de polices d’assurance qui sont disponibles ainsi que de l’assurance répondant à des besoins particuliers, comme les études universitaires des enfants, l’hypothèque qu’il reste à rembourser sur votre maison ou les biens locatifs que vous possédez éventuellement, comme un triplex.

Éléments à prendre en considération quand vous choisissez un conseiller financier

Une démarche préoccupante!

Il vous faut rencontrer quelqu’un pour la première fois, lui faire un bilan de votre vie, tout en lui confiant vos succès ainsi que vos échecs. Il faut lui révéler vos ambitions et vos rêves pour l’avenir.

En effet, c’est tellement intimidant que certaines personnes évitent carrément de consulter un conseiller financier. Alors… Prenez votre courage à deux mains et venez rencontrer un expert chez une compagnie en laquelle vous avez confiance.

Certains points à considérer :

  • La compagnie est établie depuis combien d’années ?
  • Sa réputation
  • Si la compagnie respecte et s’occupe de ses clients peu importe la fortune dont ils disposent
  • Si vous vous sentez plus à l’aise avec un conseiller ou une conseillère
  • Préférez-vous transiger avec un conseiller ou une conseillère ?
  • Si la rémunération de votre conseiller est à commission pour chaque achat ou vente de valeurs (A)
  • Si la rémunération de votre conseiller est à taux fixe sur la valeur de votre portefeuille peu importe qu’il fasse des transactions pour vous ou non (B)
  • La possibilité de choisir la méthode de compensation de votre conseiller (A) ou (B)
  • Si votre conseiller recevra un salaire que vous investissiez avec lui ou non

Plus de points à considérer :

  • Vous sentez-vous à l’aise en présence de votre conseiller?
  • Est-ce qu’il/elle sourit et semble apprécier son milieu de travail?
  • Sentez-vous que vous pouvez lui faire confiance et qu’il se soucie vraiment de vous et de vos objectifs?
  • Est-ce qu’il vous a offert de rédiger pour vous un plan financier détaillé dans le but de vous aider à atteindre vos objectifs?

Souvenez-vous, c’est vous le client!
Vous désirez et vous méritez un bon service.
Vous désirez qu’il y ait une vraie personne à l’autre bout du fil plutôt qu’un enregistrement/service automatisé lorsque vous appelez la firme.
Vous voulez être capable de joindre votre conseiller ou savoir que celui-ci va vous rappeler dans un délai raisonnable.
Si vous prenez une décision en considérant les éléments ci-haut mentionnés, nous sommes certains que vous ferez un choix judicieux.
Souvenez-vous tout simplement comment débute une aventure durable.

L’histoire Rothenberg : comment tout a débuté

Il était une fois un jeune homme qui se croyait très vieux, même s’il n’avait que 34 ans. Toute sa vie, il avait voulu triompher, même s’il était considéré comme un moins que rien par plusieurs lorsqu’il était petit. Il s’est marié à 21 ans et il était déterminé à subvenir aux besoins de son épouse et sa future famille. Il a donc commencé à travailler de très longues heures comme représentant à une compagnie de fonds mutuels, dont le succès était plutôt modéré. Lorsque ladite compagnie a fait faillite, Jack a décidé de commencer à vendre des produits d’assurance chez London Life.

À cet endroit, il a appris l’importance de développer une clientèle stable et de pourvoir aux besoins de celle-ci même dans les moments les plus difficiles, comme après un décès prématuré. Jack prenait ce travail très au sérieux et était très dévoué pour ses clients.

Les années ont passé et à 34 ans, alors qu’il se sentait déjà très vieux, il a décidé de fonder sa propre compagnie. Cette compagnie offrirait à ses clients des produits d’assurance-vie, avec une expertise en annuités. Les clients auraient l’occasion de choisir n’importe quelle compagnie d’assurances au Canada. Avec enthousiasme, il a convaincu son épouse, Pearl, que fonder une compagnie serait « un jeu d’enfant » et qu’elle pourrait elle aussi y travailler comme associée. Après tout, Jack avait déjà économisé 15 000 dollars et la Banque royale avait accepté de lui prêter 15 000 additionnels. Rothenberg et Rothenberg est alors né.

Après neuf mois, Pearl était désenchantée, ayant découvert qu’elle détestait travailler en finance. Elle est donc retournée sur les bancs d’école, sa quarantaine à l’horizon. Elle a décidé qu’elle désirait obtenir un diplôme universitaire avant d’avoir 40 ans. Huit ans plus tard, elle a gradué et a débuté sa carrière de psychologue clinique.

Au fil des ans, Rothenberg et Rothenberg a connu plusieurs hauts et bas, et Pearl rappelait souvent à son époux à quel point il croyait que ce serait « un jeu d’enfant ». Par contre, ce jeune vieil homme n’a jamais abandonné et cinq ans plus tard, la compagnie Gestion de Capitaux Rothenberg (GCR) est née, afin d’offrir aux clients des fonds mutuels de toutes sortes. Le temps passait encore et Robert Rothenberg, un homme réellement jeune à ce moment, a décidé de joindre l’équipe de GCR. À nouveau, il y avait deux Rothenberg qui dirigeaient la compagnie. En peu de temps, Robert a obtenu une multitude de diplômes en finance et aujourd’hui, son expertise guide la compagnie à travers les fluctuations du marché et ce, avec la dextérité d’un maître d’orchestre. Le Groupe Rothenberg comprend à présent la compagnie initiale, Rothenberg et Rothenberg, ainsi que Gestion de Capitaux Rothenberg (GCR).

On dit que derrière tout grand homme, il y a une femme. Pour Jack, cet adage est juste de deux façons. Suivant le conseil de Pearl, il a embauché Helen Corrigan, alors directrice régionale d’une grande compagnie de fiducie qui recherchait le changement. Ceci a été une des meilleures décisions de sa vie. En seulement deux ans, Helen est devenue vice-présidente du Groupe Rothenberg et elle est aujourd’hui présidente de cette compagnie florissante en pleine croissance, comptant quatre bureaux à travers le Canada. Chacun de ces bureaux gère tous les aspects de la planification financière, incluant la gestion de portefeuilles de millions de dollars comptant des valeurs, des obligations, des actions préférentielles et des certificats d’investissement garantis.

Avec plusieurs milliers de clients et des avoirs d’une valeur de plus d’un milliards de dollars, ce jeune homme qui se pensait vieux a maintenant 71 ans. Il prend encore le service offert à ses clients très au sérieux et dévoue beaucoup de temps à leur protection. En effet, il a toujours affirmé que les clients de la compagnie devaient être traités comme s’ils étaient de la famille. Cette approche inspire tous les conseillers de façon quotidienne et se reflète dans la qualité et la familiarité dont les relations client sont empreintes.

Pourquoi? Puisque cet homme de 71 ans était, il y a déjà bien longtemps, un jeune homme qui se souciait du bien-être et l’avenir de sa famille, et qu’il sait que

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